Le prix du pardon

Corrie Ten Boom, missionnaire bien connue, nous raconte dans un de ses livres, comment la haine entra dans son coeur quand elle fut trompée et trahie par un homme, pendant la dernière guerre mondiale. À la suite de cette trahison, toute sa famille fut arrêtée et condamnée à mort. Quel privilège pour moi, écrit-elle, de savoir comment il fallait agir à l'égard de la haine qui envahissait mon coeur. La Parole de Dieu dit : «Le sang de Jésus-Christ son Fils nous purifie de tout péché . . . Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste de nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité.» (1 Jean 1:7-9) J'ai donc apporté ma haine à Jésus, et il me pardonna et me purifia par son sang.

Àprès la guerre, le traîte de ma famille fut condamné à mort. Je lui écrivis une lettre en ces termes : «Votre trahison a été la cause de la mort de mon père octogénaire, de mon frère et de son fils, et de l'emprisonnement de ma soeur. J'en ai beaucoup souffert, mais je vous ai tout pardonné, petit exemple du pardon et de l'amour de Jésus. C'est Lui qui vit dans mon coeur, c'est pourquoi je veux vous pardonner. Jéss entrera aussi dans votre coeur et fera de vous son enfant, si vous Lui confessez vos péchés. Sur la croix du Calvaire, Il a payé la dette de vos péchés et des miens.»

Plus tard cet homme écrivit : «J'ai prié : Jésus, si tu peux mettre dans le coeur de l'un de tes disciples un tel amour pour son ennemi, alors il y a espoir pour moi. Je lui ai vraiment confessé mes péchés. Maintenant je sais que je suis un enfant de Dieu, purifié par le sang de Jésus.»

Et Corrie Ten Boom de continuer : «C'est ainsi que Jésus a pu m'utiliser pour sauver l'âme de l'homme que j'avais tant haï.» Ce même jour, le prisonnier envoya aussi un message à sa femme disant : «Pardonne-moi tous mes crimes. Certes, comme moi tu n'en n'as pas la force. si nous ne voulons pas pardonner, nous ne serons par pardonnés nous-mêmes.»

Il n'y a rien d'aussi beau, et en même temps, hélas, d'aussi rare que le pardon chrétien. Ce témoignage nous révèle la réalité et la puissance du pardon.

Pensons à Étienne, rempli du Saint-Esprit, qui lorsque lapidé à coups de pierres, s'écria à haute voix : «Seigneur, ne leur impute point ce péché.» (Actes 7:60). Pensons surtout à l'agonie de notre Seigneur Jésus-Christ, lorsqu'il a dû payer de son sang, de sa vie, le pardon de nos péchés. Oui, nous avons été rachetés à grand prix!

Si, «Christ a souffert une fois pour les péchés, le juste pour les injustes, afin qu'il nous amena à Dieu» (1 Pierre 3:18) il a aussi «souffert pour vous, vous laissant un modèle, afin que vous suiviez ses traces . . . lui qui lorsqu'on l'outrageait, ne rendait pas l'outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas . . .» (1 Pi. 2:21-23).

Pardonnés, ne pourrions-nous pas pardonner à tous ceux qui nous ont offensés, quel qu'en soit le prix?

(Extrait tiré de la préface du livre intitulé : Le pardon, une puissance qui libère, disponible au Messager Chrétien).

L'Étoile du Matin

Juillet-Août-Septembre 2008


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Le pardon des péchés

F.B. Hole


La culpabilité de l'homme a été démontrée tant par son incapacité d'obéir à la loi de Dieu que par l'adoration des choses créées plutôt que de rendre à son Créateur l'hommage qui lui était dû (Rom. 1:23). Le pardon est alors devenu une nécessité pressante. Il est mentionné tout au début des instructions données par le Seigneur Jésus ressuscité. En Luc 24:47, le Seigneur dit aux apôtres que la repentance et la rémission des péchés — c'est-à-dire le pardon — devaient être prêchées en son nom à toutes les nations. Dès sa conversion, l'apôtre Paul entendit dans une vision céleste la même instruction de la bouche de l'Homme glorifié. Jésus-Christ l'envoyait vers les nations «pour qu'il reçoivent la rémission des péchés.» (Actes 26:17-18).


Le jour de la Pentecôte, l'apôtre Pierre annonce la repentance et la rémission des péchés à la multitude assemblée à Jésusalem (Actes 2:38). Devant la autorités religieuses, il rend témoignage à propos du pardon des péchés (Actes 5:31). Lorsqu'il commence à annoncer l'évangile aux nations devant Corneille et ses amis, il déclare que par le nom de Jésus «quiconque crois en lui reçoit la rémission des péchés.» (Actes 10:43). Quant à Paul, dès son premier voyage missionnaire, il proclame : «Par lui vous est annoncée la rémission des péchés». (Actes 13:38).


Dans chacun des six récits rapportés ci-dessus, c'est le même mot grec qui est traduit indifféremment par «rémission» et «pardon». Ce terme signie simplement «renvoi» ou «libération». C'est exactement ce qu'il faut à un pécheur dont la conscience est chargée et qui se repent. Il faut que ses péchés soient «renvoyés» par celui vis-à-vis de qui il s'est rendu coupable. Quelle heureuse libération, quel repos pour la conscience de se savoir pardonné! Voilà quelle est la part de chaque enfant de Dieu. L'apôtre Jean disait : «Je vous écris, enfants, parce que vos péchés sont pardonnés par son nom» (1 Jean 2:12).


Pardon et justification

Dans l'épitre aux Romains, l'Esprit Saint prononce un verdit sur l'homme : «Coupable devant Dieu». Nous aurions pu nous attendre à trouver, immédiatement après, le développement de la doctrine du pardon. Pourtant, la mention du pardon ne se trouve qu'une seule fois dans toute l'épître. C'est une citation du Psaume 32 : «Bienheureux ceux dont les iniquités ont été pardonnées» (Rom. 4:7-8), qui montre le bonheur de l'homme à qui Dieu donne sa justice sans oeuvres.

Les termes «justice» et «justification», si fréquemment employés dans l'épître aux Romains, sont empreints d'une grande plénitude et répondent à la culpabilité générale démontrée au début de l'épître. On ne peut pas être pardonné sans être justifié, ni inversement. Cependant, le pardon a plutôt un caractère négatif — nous sommes déchargés de la culpabilité de nos péchés — alors que la justification est positive : nous acquérons la justice.


Le fondement du pardon

Un homme inquiet au sujet de ses péchés ne trouvera pas de repos s'il ne voit pas clairement quel est le fondement du pardon. On peut avoir certaines pensées vagues au sujet de la miséricorde et de la bonté de Dieu, de sa disposition à recevoir les pécheurs, mais il faut aussi savoir que le pardon se fonde sur la justice divine. Christ est mort pour porter les péchés de tous ceux qui croient en lui ; il en a subi le châtiement complet. Aussi Dieu est-il maintenant juste en recevant comme pardonnés ceux qui viennent à lui par Christ. Sa justice est satisfaite à propos de leurs fautes. Dieu ne pardonne pas à la manière des hommes. Il ne passe pas avec indulgence par-dessus les péchés, mais, dans son amour, il a envoyé son Fils pour être la «propitiation pour nos péchés» (1 Jean 4:10). C'est ainsi que Dieu peut être juste et justifier celui qui est de la foi de Jésus (Rom. 3:26 ; voir aussi 1 Jean 1:9). Que la reconnaissance lui en soit à jamais rendue!


Abordons maintenant deux questions qui peuvent se poser à nos esprits :


1) On entend dire parfois que tous les hommes sont pardonnés. Cette pensée est-elle juste?


Non, elle n'est pas selon l'Écriture. Le fait que «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, ne leur imputant pas leurs fautes» (2 Cor. 5:19) est évidemment merveilleux. Pourtant, les offres de grâce faites par Dieu quand le Seigneur Jésus était sur la terre, furent rejetées. C'est alors un fait plus merveilleux encore que Dieu se soit servi de la mort et de la résurrection de Christ pour adresser aux hommes coupables un mesage de pardon (voir Luc 24:46-47).
Ainsi le rejet de Christ n'a pas été suivi d'une déclaration de guerre et d'un jugement immédiat sur un monde rebelle. Dieu a plutôt conclu un armistice de longue durée, pendant lequel une amnistie est offerte à chacun. Si quelqu'un s'humilie, se repent et se tourne par la foi vers le Sauveur, il reçoit le pardon.
Le pardon est donc bien en faveur de tous les hommes, mais il n'est pas exact de dire que tous les hommes sont pardonnés. Ils le sont conditionnement à la reconnaissance de leur état de pécheur devant Dieu et à l'acceptation du salut par la foi : «Crois au seigneur Jésus et tu seras sauvé» (Actes 16:31).

2) Est-il vrai que lorsqu'un homme croit et se repent, il reçoit le pardon une fois pour toutes?

C'est vrai, Dieu en soit béni. Dans l'exposé concernant le sacrifice de Christ en Hébreu 9, 6 à 10:18, ce fait est l'un des plus importants. Ce passage capital affirme six fois que le sacrifice de Christ est unique et a été offert une seule fois. Il affirme également que ceux qui s'approchent de Dieu sur une base de ce sacrifice sont «rendus parfois à perpétuité» (Héb. 10:14). Cette perfection est fondée sur l'unique et parfaite purification que les rachetés ont obtenue et en vertu de laquelle ils s'approchent de Dieu en n'ayant plus «aucune conscience de péché» (Héb. 10:1-2). Nous nous tenons devant Dieu dans un état de pardon étenel. Quelle grâce!

(Tiré et adapté du livre:
Un si grand salut F. B. Hole)

L'Étoile du Matin
No. 54
Juillet-Août- 2002

Conversion et repentance

J.N. Darby


En rapport avec notre sujet du Psaume 80, je voudrais ajouter quelques mots sur le retour personnel à Dieu et la repentance.

En Jérémie 31:18, il est dit : «. . . convertis-moi et je serai converti», ou : «fais-moi revenir, et je reviendrai. Nous avons donc en premier lieu l'action de Dieu en grâce, ramenant le pécheur, le convertissant. Ce dernier ne regardait pas à Dieu, il lui avait tourné le dos; et maintenant, de coeur et de volonté, il se retourne vers Lui.

La repentance vient après : «Car, après que j'ai été converti, je me suis repenti». — Mon coeur, ayant été tourné vers Dieu et amené dans la lumière, je me mis à l'oeuvre; je jugeai tout, aussi bien l'état de mon coeur que mes voies pendant mon éloignement de Lui. Alors, introduit dans la vraie bénédiction, possédant la pensée de Dieu quant au bien, on reste confondu d'avoir pu désirer et poursuivre des choses si vaines et si mauvaises.

L'épître aux Corinthiens nous présente une autre pensée. La conversion que Dieu opère produit la tristesse (2 Cor. 7). La première lettre de l'apôtre avait pénétré, par la puissance de l'Esprit, dans leurs âmes. Ce n'était pas encore le jugement complet de leur état dans la lumière, mais, leur propre volonté étant retenue par l'action divine, il y avait chez eux de l'affliction dans le sentiment qu'ils s'étaient écartés du droit chemin. Alors la conscience commença à agir et non plus la volonté ; peut-être le moi y avait-il encore part en quelque mesure.

Néanmoins c'était une tristesse selon Dieu, une volonté brisée, un coeur contrit ; il y avait le sentiment que l'on avait suivi sa propre volonté et oublié Dieu. Les illusions d'une volonté perverse s'en sont allés, et dès lors commence l'action de la nature divine en nous, résultat du fait que nous avons affaire à Dieu. Cette action n'est pas accompagnée de frayeur lorsqu'elle est bien sentie ; il n'y a nulle idée que Dieu veuille nous imputer le péché, ou nous condamner, mais bien la tristesse et l'affliction du coeur à la pensée que l'on a suivi la perversité et les tromperies de sa propre volonté.

Cette tristesse produit un jugement du mal bien plus actif et plus décidé, et ce jugement est appelé la repentance. «La tristesse qui est selon Dieu produit une repentance salutaire dont on n'a pas de regret». Par cette conversion dont nous venons de parler, l'âme ayant été amenée, par l'opération de la grâce de Dieu, à s'affliger pour avoir écouter sa propre volonté, rentre maintenant (ou plutôt entre pour la première fois) sous l'influence naturelle et sous l'action du nouvel homme non contristé. Elle juge, par l'énergie spirituelle, tout le mal, comme Dieu le juge en principe. Le sentiment de la culpabilité n'a point disparu, mais ce qui caractérise cet état, c'est le jugement de la faute — le jugement du moi en tant que celui-ci y est impliqué. Le coeur est pur du mal, lorsqu'il le juge comme Dieu le fait et s'en sépare comme d'une chose qui lui est extérieure, à laquelle il est étranger. Or ceci est la sainteté, laquelle gagne souvent en profondeur à mesure que l'on connaît mieux le moi.

Au chapitre 2 des Actes, nous voyons un exemple dans le discours de Pierre. L'apôtre venant de mettre devant leurs yeux le péché du peuple. «Quand ils entendirent ces paroles, ils eurent le coeur transpercé et dirent à Pierre . . . Que devons-nous faire? Il n'était plus question de leur volonté qui leur avait dicté ce cri furieux : «Crucifie-le, crucifie-le!» Le péché a accompli son acte et ne peut plus se changer. La folie d'un tel acte se présente à eux, apportant l'angoisse à leurs coeurs. «Que devons-nous faire?» Ils sont convertis ; ils en sont arrivés à l'affliction et à la tristesse selon Dieu. Que leur dit Pierre? «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de ses péchés.» Ils étaient convertis, saisis de componction en songeant à la folie de leur péché ; ils avaient encore à se repentir.

Il y a une chose plus grande, plus profonde, plus complète qu'une âme amenée à la lumière ; c'est lorsque le nouvel homme exerce son jugement sur ce que le moi avait été. Il ne s'agit plus d'une âme convaincue de la part de Dieu et se soumettant, dans le sentiment de sa culpabilité, à l'effet de sa grâce et de sa présence, mais il s'agit d'une âme qui rejette spirituellement, en communion avec Dieu, le mal comme tel, du terrain où le nouvel homme se tient avec Dieu. La contrition et l'humilité de coeur accompagnent cet acte, mais l'âme est rentrée dans sa liberté devant Dieu. Il y a une vraie repentance, du moment que le moi est mis de côté et que la nouvelle nature, s'étant emparée du jugement et de la volonté, juge librement, comme une chose rejetée, tout ce qui avait séduit la chair et ce en quoi elle prenait plaisir.

Tiré de : Réflexions pratiques sur les Psaumes (Ps. 80)

L'Étoile du Matin
Avril-Mai-Juin 2008


Ne soyez pas trompé!

Ce billet de 20$ semblait pourtant véritable, mais c'était un faux! L'oeil exercé de la caissière à la banque a facilement découvert la contrefaçon, qui fut la perte d'un commerçant de la région.
Les hommes à la porte ont semblé sincères, mais, une fois à l'intérieur de la maison, c'était une autre histoire. Voilà qu'une autre personne âgée, qui faisait confiance aux gens, a été victime d'un acte de violence.

L'appel au secours semblait normal, mais ne l'était pas. Les policiers arrivant sur la scène sont tombés dans une embuscade. Un policier a été tué et un autre blessé, et une jeune mère et ses enfants se sont retrouvés face à une perte dont ils ne se remettront jamais entièrement.
Tous ces gens étaient des victimes de TROMPERIE. Ils ont tous agi de bonne foi, croyant que ce qu'ils ont vu ou entendu était véritable. Ils ont souffert parce que quelqu'un avait l'intention de les TROMPER.
Dans la vie quotidienne, nous pouvons devenir si habitués à la tromperie que nous nous y attendons presque. Nous apprenons à nos enfants à ne pas parler aux étrangers ; nous vérifions l'identité des gens collectant des fonds pour des organismes de charité ; nous questionnons toutes les paroles du vendeur de voitures d'occasion!
Alors, pourquoi, lorsque les sujets d'ordre spirituel surviennent — sur la question de ce qu'est la vérité à propos de Dieu, sur le but de la vie sur terre, sur le bien et le mal, sur la destinée de l'homme — les gens semblent si crédules? Plusieurs pensent que ce n'est pas tant ce qu'une personne croit qui est important. Ces gens disent même qu'une opinion «de la vérité» est aussi bonne qu'une autre. La possibilité d'enseignements religieux contrefaits, conçus avec astuce pour paraître vrai, ne leur est jamais venue à l'esprit.
Dans la Bible, il ne manque pas d'avertissements sérieux contre la tromperie. Elle semble même y avoir été un danger qui était constamment dans les esprits de ses auteurs.
«Jésus leur répondit : Prenez garde que personne ne vous séduise ; car beaucoup viendront en mon nom et dirons : Moi, je suis le Christ ; et is séduiront beaucoup de gens» (Matt. 24:45) L'apôtre Paul a averti qu'après son départ, il se lèvera «du milieu de vous-mêmes des hommes qui annonceront des doctrines perserves pour entraîner les disciples après eux» (Act: 20:29-30). Il anticipait le jour où les gens «détourneront leurs oreilles de la vérité et se tourneront vers les fables» (2 Tim. 4:4).
La réalité est qu'il y a un ennemi qui rôde autour de nous — le diable, acharné à décevoir la race humaine et à la conduire dans ses sombres propos de rébellion contre Dieu. L'histoire de l'humanité a commencé quand il a séduit Adam et Ève en les incitant à désobéir à Dieu, introduisant ainsi le péché et la mort dans le monde (voir Rom. 5:12). Le récit en Genèse 3 vaut la peine d'être lu et relu, pour retracer la source de la détresse et de la misère dans ce monde. L'intention première du diable était de mettre en doute la parole de Dieu. Il utilise toujours cette tactique de nos jours en lancant des attaques constantes contre la Bible. Il met alors en doute, dans l'esprit de ceux qu'il a asservis, la bonté de Dieu!
Est-il encore possible qu'aujourd'hui nous nous permettions d'être trompés? Peut-on toujours accepter ce mensonge du diable que l'homme n'est pas un pécheur coupable, se dirigeant vers le jugement éternel de Dieu? Peut-on douter que le seul espoir de l'homme se trouve dans la grâce de Dieu?
Il y a une chose que le tentateur essaye vraiment de supprimer : la signification de la mort et de la résurrection du Seigneur Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu. Il prendra tous les moyens pour vous empêcher d'entendre et de croire que le Seigneur Jésus a donné sa vie pour vous, a payé la dette du péché, pour que vous puissiez échapper au jugement de l'enfer et recevoir la vie éternelle en croyant en lui. «Car Dieu est un, et le médiateur entre Dieu et les hommes est un, l'homme Christ Jésus, qui s'est donnée lui-même en rançon pour tous» (1 Tim. 2:5-6).
Ne vous trompez pas! Pourquoi ne pas croire le seul qui doit digne de confiance? Pourquoi ne pas croire Dieu et sa Parole et accepter le pardon des péchés et la vie éternelle par Jésus-Christ?

Grace & Truth Magazine
L'Étoile du Matin
Avril-Mai-Juin 2008